mercredi 22 février 2017

Une élection, un attentat?

Il y a une semaine j'ai lu ce grand titre:

FILLON? SEUL UN ATTENTAT POURRAIT SAUVER SA CAMPAGNE.


Quelle étrange pensée, un attentat "profiterait "à quelqu'un? Auquel cas cela avantagerait plutôt  MLP, si quelqu'un peut profiter d'un événement aussi dramatique, ce dont elle n'a sûrement pas plus envie que quiconque.

Et avant hier j'ai découvert ce schéma, j'ai vérifié en effet les plus grands attentats depuis 2012 précèdent de peu les grandes  échéances électorales françaises.

En 2013, il n'y a pas eu d'élections mais nous avons voté  en 2014 à deux reprises d'abord pour les municipales en mars (pas d'attentat) puis pour les européennes en mai, élections précédées d'un attentat à Bruxelles.

En 2015 des départementales en mars, précédées d'un attentat, puis des régionales en décembre juste après  le carnage du Bataclan. Il n'y a pas eu d'élection en 2016, mais un attentat très sanglant à Nice le 14  juillet.


 Dites moi que je me trompe, que ce schéma est faux, que ce n'est que du hasard, j'aimerais tellement y croire, mais sinon?  Quelle logique implacable pourrait pousser des terroristes de nous frapper, de nous plonger dans la terreur juste avant que nous soyons appelé à aller voter?




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