vendredi 29 janvier 2016

Le salopard iconoclaste.





Wauquiez? La nouvelle  bête noire de la gauche, trop jeune, trop brillant, tout ce qu'ils craignent pour la France de 2022.

Eradiquer tout ce qui dépasse est une auto-défense de la masse bêlante des politicards nullards. Wauquiez a tout ce qu'il faut pour leur faire peur, jeune, il cumule les succès électoraux, même les défis les plus difficiles, la machine à écraser, diffamer s'est donc mise en route de manière aussi aveugle que stupide, peu importe les moyens, faites chuter Wauquiez, il ne faut surtout  pas risquer de le laisser réussir.







Le problème du chômage est inchangé, le gouvernement applique des recettes qui sont cautères sur jambe de bois, camouflages sous le tapis, formations à gogos, déclassement des chômeurs de catégorie A en B ou C, travail d'avenir sans avenir et autres fonctionnaires territoriaux supplémentaires...

Les vraies solutions au problème du chômage de masse sont volontairement écartées, depuis de nombreuses années.

1) Diminuer le coût du travail (salaire +charges) soit en diminuant les charges, soit en augmentant le nombre d'heures travaillées ce qui diminue le salaire horaire. Diminuer les charges et augmenter le temps de travail, diminuerait considérablement le coût du travail, les entreprises y gagneraient en  compétitivité et leur relocalisation en France ne resterait plus un voeu pieux.

2) Imposer des quotas aux importations ainsi que des taxes, quotas et taxes pour réguler les importations venant concurrencer les produits français, les US le font sans complexe et personne n'y trouve à redire.

La véritable martingale se situant dans un "mix" de ces deux idées principales accompagné d'une réduction drastique des dépenses de l'état (donc du nombre de fonctionnaires)


Il  a environ 6 500 000 chômeurs en France, chaque migrant qui arrive est un chômeur supplémentaire. La cosmétique du traitement social est finie, la France reçoit alerte sur alerte sur  sa dette qui enfle et notre situation est à deux doigts de basculer comme la Grèce  l'a  déjà fait.

La France une nouvelle fois au piquet à Bruxelles.(..) Faute de réformes structurelles, "dans des conditions économiques normales", la dette publique de la France devrait atteindre 101% du PIB en 2026, alors que les règles européennes imposent un maximum de 60%. 
Problème: un tel niveau d'endettement pourrait compliquer son financement en rendant ses créanciers plus gourmands, redoute Bruxelles. Qui note, comme en exemple, que la dette publique de l'Allemagne sera à 50% du PIB en 2026. 


 L'Expansion


La France est encore en mesure de choisir quelles réformes accomplir afin de redresser la situation, pour combien de temps? Permettre à chaque entreprise de fixer sa durée de travail, donnerait du travail à beaucoup de gens, les entreprises reviendraient en France, les entreprises pouvant à tout moment faire moins travailler ses salariés ou  les payer davantage.

Est il normal et souhaitable que des gens travaillent 42 ou 45 heures par semaine pour pouvoir gagner leurs vies? Non, mais il est encore plus inacceptable  de les laisser dans le desespoir, sans argent, sans boulot et qu'année après année le nombre des chômeurs explose. Plus  vite la France se mettra à la diète meilleure sera la condition des travailleurs, à chacun d'entre nous d'y songer, en déclarant nos revenus,  en cessant de gaspiller l'argent public sous quelle que forme de ce soit. Le civisme financier reste une valeur à faire découvrir.


Faisons les poches aux 500  familles est proche de la nullité parfaite en matière de gestion économique, à faire fuir les très riches on fait fuir tous les entrepreneurs potentiels, délocalisation la plus totale des personnes et des biens.





Les bisounours rêvent de grand soir ou les richissimes paieront pour tous, mais le rêve restera rêve, personne n'est prisonnier dans son pays, et les richissimes sont  dans leur immense majorité partis et même  la déchéance de nationalité, pour trahison fiscale, ne les atteindra pas, il est bien facile pour un riche d'obtenir la nationalité de son choix.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je ne sais pas vous, mais ce que moi j'ai vu au passage aux 35H, c'est que pour arranger tout le monde, pouvoir livrer quand même les clients malgré la diminution du nombre d'heures travaillées en attendant que se mette en place une nouvelle organisation avec de nouveaux collègues, (qui n'ont jamais été embauchés) de nombreux salariés ont continué à fournir la même quantité de travail hebdomadaire qu'avant, mais en 35h au lieu de 39. Pourquoi embaucher alors, puisque le boulot se fait quand même? Dans le même temps, on s'est rendu compte que le travailleur français était parmi les plus productifs au monde. Hasard?
Cela n'a pas empêché le grand Ernest de crier au scandale d'avoir à payer autant pour moins d'heures de travail, et les salaires en compensation ont stagné pendant une bonne dizaine d'années. Aujourd'hui j'en connais qui aimeraient faire une autre bonne affaire du même genre en ré-augmentant le temps de travail mais pas les salaires ou alors très peu, tout en conservant bien sûr la productivité actuelle.

Il y a sans doute des salariés qui ont la vie belle et sortent du boulot relativement peu fatigués le soir*, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Dans ma boite, pour prendre peut être un mauvais exemple, la majeure partie des gars bossent avec des pompes de sécurité, un casque anti-bruit sur les feuilles, un masque à poussières sur le museau et des lunettes. certains meulent toute la journée des pièces en acier, 5h d'affilée sans pause le matin, 3h45 l'après midi 4 jours par semaine, 47 semaines par an, pour le smic+ quelques % d'ancienneté. D'autres soudent au même rythme, d'autres encore... vous voyez, quoi. Je ne voudrais pas être à leur place, et si je me plains parfois de mon boulot de technicien et envisage mal d'y attendre une retraite qui viendra on ne sais plus trop quand ni même si elle existera encore dans 10 ou 15 ans, je m'estime encore heureux en comparaison de ces grouillots (utilisé ici sans mépris aucun).


L'idée de faire porter toujours plus, que ce soit financièrement ou en temps de travail, aux mêmes alors qu'il y a toujours plus d'inactifs, m'est odieuse. Les 35h ont sans doute été mal goupillées, à la fois trop peu souples et sans réelles garantie d'embauche, mais le partage du travail est à mon sens la seule vraie solution. Ces politiciens infatigables assoiffés de reconnaissance ont une perception du travail fort différente de ceux qui font le métier qu'ils peuvent par nécessité, si toutefois cela a une importance pour eux (au passage, Vauquiez, vous le croyez vraiment différent des autres? Et pourquoi le serait-il, lui? il vous décevra comme les autres).
Dans un pays qui souffre de tant de chômage, n'est il pas paradoxal de préférer faire bosser toujours les mêmes toujours plus plutôt que de remettre les autres dans le circuit?

*J'ai eu l'occasion de travailler comme intervenant extérieur aux ateliers municipaux de la ville de Toulouse il y a une dizaine d'années... Vous voyez les sketchs des chevaliers du fiel? eh bien ce n'était pas une caricature dans ce cas.
Ce qu'on fait de l'argent du contribuable...!!!

Alfred