samedi 3 janvier 2015

La parole est à Franflin Delano Roosevelt

Un billet entre-deux, la maison hier s'est transmuée, elle était antre à fiestas de jeunes elle est (re)devenue maison de famille, aujourd'hui nous sommes 11, le menu de ce midi serait du foie gras poëlé, hier j'ai bêtement cédé à la tentation, la remise sur ce produit étant de 50%, n'ayant pas fait de réveillon jusqu'à présent, cela paraissait presque raisonnable, le seul hic reste que je n'ai jamais cuisiné du foie gras ainsi... L'autre hic reste que je comptais sur mon gendre, bon cuisinier de son état mais qui m'a avoué son ignorance, on regardera des vidéos sur YouTube.

Une de mes devises favorites reste à jamais, qui n'avance pas recule, si on cesse d'innover, d'apprendre de découvrir, certes on ne risque pas d'échec mais on perd peu à peu tout ce que l'on sait déjà, se recroquevillant sur soi-même à se contenter de chimères idéalisées, de rêves auquels on s'accroche, fermant peu à peu les yeux sur des réalités désagréables voire détestables.




Franklin Roosevelt dont je relisais quelques citations, au détour d'une idée oubliée, m'a épaté ce matin.

Voici celles qui ont accroché ma pensée et renforcé ma détermination.

5 commentaires:

Martine a dit…

Tu as bien raison il faut chercher à innover pour avancer!!!

zelindor a dit…

lire Franklin Roosevelt, la classe Lady...

Anonyme a dit…

Au cas où il y aurait d'autres opportunités de foie gras à - 50:
Passez le au congel 1/2 heure, il sera + facile à escaloper proprement. (Idem pour Saint-Jacques)
Coupez des tranches obliques d'1 cm d'épaisseur, ôtez les veines apparentes, farinez un plateau et positionnez vos tranches sans qu'elles ne se touchent, saupoudrez les d'un peu de farine et passez l'ensemble au congel.
Le lendemain, placez les en barquettes ou en sac, elles ne colleront pas.
Le jour où vous le sentez, prenez le nombre souhaité, faîtes chauffer une poêle au bon format avec 1 tout petit peu d'huile et beurre, 1 noisette de chaque.
Faîtes blondir 1 min par face, 2 fois.
Assaisonnez en fin de cuisson. (pas pendant, le sel fait exsuder et le poivre perd sa saveur)
Réservez sur plat chaud mais non brûlant.
Déglacez avec, selon l'envie du jour, vinaigre de Xéres, Balsamique ou de Pomme ou Porto simplement.
Dressez sur : Salade ou pommes de terres ou autre envie.
Un délice prêt en 5 minutes.
Seul bémol, comme pour les Saint-Jacques, pas plus de 4 parts par poêle. Sinon, pas assez saisi, rend de l'eau et devient (nnent) caoutchouteux (ses) CCLM

Ladywaterloo a dit…

@CCLM, pleine de ressource je vois..
On a (enfin, mon gendre a ) découpé les bêtes en tranches d'un cm d'épaiseeur afin de ne pas fondre en cuisant, les a passé dans un mélange farine 2/3 et sucre glaace 1/3, très légèrement, les a réservé, puis cuits à feur vif, trnete seconde chaque face, réserver, déglacer le jus..


Il faut innover pour avancer, mais innover ce n'est pas se cramponner aux idées ancinnes qu'elles soient socialistes, communistes ou libérales, mais chercher d'autres systèmes. Je reste persuadée que pour plus d'équité il faut accepter la décroissance, au niveau de l'état d'abord, moins de festival, moins de tout, pas de conférences coûteuses.. Se concentrer sur trois objectifs: santé, éducation, vieillesse.

Accepter la décroissance pour permettre aux autres pays de consommer un peu plus.

Anonyme a dit…

Méfiance, votre dernière phrase pourrait aisément s'insérer dans un nouveau couplet de l'Internationale"
Voui, les classes moyennes française s'appauvrissent dans le même temps que les classes moyennes chinoises, russes et autre pays émergents se renforcent. Dommage que ces vases communicants soient à notre détriment.
En revanche, écolo dans l'âme, je pratique tant que je peux l'art eu recyclage, non dans l'optique mélanchoniste de décroissance mais par respect du labeur originel et des pénuries planétaires. CCLM