jeudi 24 mars 2016

Comme d'habitude.

Comme d'habitude devant ces carnages pas de réactions marquantes des musulmans modérés, pas de marches blanches organisées par des imams, ni de grandes prières dans les rues ce vendredi contre le terrorisme. Les imams restent en retrait, désapprouvent formellement dans les discours mais ne posent aucun acte fort contre le terrorisme, acte qui seraient marquants tant auprès des populations non-musulmanes qui amalgament ensuite, naturellement.. qu'auprès de leurs ouailles afin qu'elles sachent bien où se posent leurs baskets de musulmans modérés.

Comme d'habitude, les terroristes sont des maghrébins, musulmans, parfois portant une nationalité européenne mais pas d'origine, d'origine marocaine ou tunisienne, enfin les médias ne disent guère de mots là dessus, mais les frères el Bakraoui seraient d'origine marocaine et comme d'habitude les pays dont sont issus ces terroristes ne se sentent ni coupables, ni responsables, ils collaborent à minima avec les autorités européennes et ne manifestent pas clairement non plus, dans leurs pays, leur fermeté vis à vis de ces attentats, pas de prières officielles, pas de jours de deuil en solidarité...



Et comme d'habitude, soit on nous ment, soit on  nous raconte n'importe quoi.

Une bombe de cafouillage pour le moins trouvée sur le blog  canadien Conscience du Peuple  qui ayant recoupé diverses infos de journaux tels Les Echos, Center for Security , l'Express et le Soir Be soulève ce gros problème.

Selon les médias, les frères Bakraoui, tous deux responsables des attentats à l'aéroport et dans le métro de Bruxelles, étaient recherchés par les autorités pour leur implication dans les attentats de Paris: pourtant, selon d'autres sources, ils auraient été appréhendés le 15 mars lors du raid anti-terroriste mené tout près de Molenbeek pour ensuite être relâchés???????????????

TROUVEZ L'ERREUR....

Conscience du Peuple


Vous trouverez dans son billet, les articles et leurs liens  prouvant ce qu'elle affirme, et effectivement ça ne fait pas sens. J'ignore si nous avons les pires policiers au monde ou les pires journalistes, mais je suis presque sûre qu'on nous raconte n'importe quoi. Pourquoi?



Une chose reste certaine, si nous ne voulons plus jamais cela, il faut que les choses changent et ce ne sont ni les images de solidarité à la con, ni les marches blanches, ni les minutes de silence qui  feront quelque chose.

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