Dans la loi Macron qui va passer grâce au 49-3, ce qui arrange bien les députés de gauche dans le fond qui pourront dire qu'ils n'étaient pas d'accord mai qu'ils n'ont rien pu faire, il y a outre le travail du dimanche, un petit truc dont personne ne parle, une sorte de ballon d'essai, les jours fériés seront "à la carte" pour les DOM TOM.
Une députée socialiste réunionnaise a déposé un amendement qui a été accepté, amendement qui permet de remplacer les jours fériés catholiques par des fêtes locales dans les DOM TOM, sur décision préfectorale on peut imaginer ainsi que le 15 Aout ne sera plus férié, mais mardi gras sera chômé.. Les changements se feront par touches afin de ne pas brusquer les vieilles coutumes ancestrales. RTL
Madame Bareight veut instaurer une religion teritoriale propre à la communion des saints locaux.
, Mme Bareigts évoquait la possibilité de faire des jours fériés « célébrant par exemple l'arrivée des premiers habitants, leur départementalisation, certaines fêtes religieuses qui y sont largement célébrées ou encore la naissance d'une personnalité historique majeure de l'histoire du territoire ».
Le Monde
Le calendrier français compte 11 jours fériés, 1 janvier/lundi de Pâques/1 mai/8 mai/jeudi de l'Ascension/ lundi de Pentecôte/14 juillet/15 août/1 novembre/11 novembre et jour de Noël, sur ces 11 jours fériés seuls 4 sont "sanctuarisés", les jours laïcs, (1 janvier, 1 et 8 mai, 14 juillet) il est évident que sacrifier un 8 mai est impensable alors qu'en revanche supprimer l'Ascension est tout à fait envisageable.
La Martinique va enfin pouvoir célébrer la Saint Césaire, le vivre ensemble se portera bien mieux lorsque chaque territoire se fabriquera sa petite histoire à sa sauce personnelle, au risque d'attiser au sein même des territoires les vieilles rancoeurs.
Cette expérience est destinée à être généralisée à la France entière, région par région, les jours fériés seront choisis en partenariat avec les associations, les élus locaux... Le but final est bien loin du " vivre ensemble" il est tout simplement d'éradiquer les racines chrétiennes à la base. Un jour, en Alsace Saint Nicolas sera peut-être un jour férié, mais plus Noël.
5 commentaires:
en Lorraine, Ils ont des jours fériés en plus...
tu vois, en Alsace ce doit être la même chose ;
ils sont incapables de gouverner...
bon soir quand même
L'Alsace et la Lorraine ont un statut particulier depuis la guerre, je l'avais oublié dans mon exemple..
Les prêtres y sont payés, le délit de blasphème existe mais je ne savais pas qu'ils avaient des jours fériés en plus!
On devrait supprimer pour commencer deux jours, le 8 mai (tout réunir le 11 novembre) et le lundi de Pentecôte (théoriquement fait) et laisser aux régiosn el droit de disposer de ces jours comme elles l'entendent, mais garder 9 jours fériés communs dont certains sont le ciment d'une nation et de sa culture.
jJe ne suis pas "très" Toussaint (religieusement on pourrait glisser cete fête, incomprise d'aillerus sur un dimanche adjacent) mais force est de constater que beaucoup de familles se réunissent pour la Toussaint et vont au cimétière ensemble. La familles est le ciment de la société et partager les mêmes tempos forts que ses voisins participe au "vivre ensemble"
Je ne sais pas si des études ont été faites sur le rôle social de la messe autrefois, mais le village s'y retrouvait, papotait..
Alors déjà il ne s'agit pas de l'Alsace et de la Lorraine, mais de l'Alsace et de la Moselle ! En effet, nous avons deux jours fériés en plus : le Vendredi Saint et le lendemain de Noël ; Cette situation est le résultat de l'occupation des allemands dans nos régions entre 1871 et 1919 ; et pendant la 2e guerre mondiale, on a remit cela ! Nous sommes donc régit par le loi concordataire qui était en sorte un dommage de guerre et qui date de Napoléon 1er ; à côté de cela nous sommes régis par quelques lois allemandes que nous avons conservées (régime spécial de la sécurité sociale par exemple (qui d'ailleurs fonctionne bien mieux que du côté "français")) ; tout cela résulte de Notre histoire ; je doute que les régions n'ayant pas connu la douleur de devenir allemand (j'en parle d'autant mieux que mes arrières-grands-parents, grands-parents, et parents on connu cette situation) puissent comprendre.
Ce ne sont pas des avantages que nous avons mais des compensations !
Merci Christine de ces explications.
Mon gendre (interpellé en allemand partout où il passe) est de l'est, ila appris l'allemand petit chez ses grands parents qui parlaient un patois allemand.
Ce qu'il me dit et ce que me dit sa mère c'est qu'ils étaient pour eux autant allemands que français, qu'ils souffraient des guerres mais ne voyaient ni méchants, ni gentils, possèdaient simplement la double culture.
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