vendredi 20 mai 2016

Le burn-out français

“A vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes.” JF Kennedy


Il n'y a plus rien à faire ou espérer, il faut attendre à présent.

Tous les jours, un peu de boue se rajoute sur les vieilles couches nauséabondes de nos infos, savez vous que JV Placé a été va être nommé colonel d'honneur dans un régiment de paras? Beurk. BFM TV

Hollande en m'a pas déçu, il a été au delà de mes espérances, il a détruit la France, socialement, économiquement et moralement.



Le  texte  qui suit a été trouvé sur le Clairon.tv,  il correspond hélas exactement tristement à mon état d'esprit, Je ne crois plus en rien, n'espère plus rien de nos gouvernants, aussi je les laisse péter dans la soie seuls, se moquant des sans-dents de plus en plus  nombreux à crever de désespoir.



J’ai atteint un tel niveau d’exaspération politique que j’ai l’impression d’être au bord du burn out. Chaque jour je prends directement dans le ventre la honteuse réalité. Je vis dans un pays malade de partout, avec à sa tête des petits français, élus par la magie de tous nos renoncements, assis sur leurs privilèges, vidant les caisses à tour de rôle et à tours de bras sous nos yeux ébahis, se moquant allègrement de nos conversations et de nos avis, s’octroyant des primes, des salaires, des taux, des toits et des avantages généreux, inventant des lois scélérates sous la panique, chantant la Marseillaise au Congrès de Versailles, la larme à l’oeil entre deux mises en examen, désertant leur poste à l’Assemblée, démissionnant de leurs ministères pour retrouver leur mairie, profitant de leur poste, les yeux dans les yeux, pour placer l’oseille au frais, écrivant des livres de promesses malodorantes, courant de plateaux en plateaux pour déverser leurs éléments de langage, vidant le langage de tous ses éléments, bafouant la vérité au profit du profit, mentant le mardi pour se repentir le jeudi et se représenter le dimanche, la gueule enfarinée, rasant gratis et sans état d’âme, bénis par leurs camarades de promotion, coudes à coudes, soudés, calés dans les dorures, au son de la trompette républicaine lustrée par notre impôt massif et note dette souveraine.
J’ai la nausée, elle est là et elle ne me quitte plus, elle s’intensifie.
la suite sur Le Clairon tv



1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je reviens en France, après 8 ans en Allemagne, je suis attristé de voir comment la France va mal. Ses dirigeants politiques et d'entreprises sont consternants de médiocrité, d'autoritarisme borné.

J'avais accepté 25% de baisse de salaire pour revenir en France, et je constate un délabrement navrant devant lequel je me trouve impuissant.

Alors, de guerre lasse, il est probable que je reprenne mon baluchon pour aller en Suisse ou ailleurs qu'en France où les salaires et conditions de travail de ceux qui innovent sont épouvantables.

C'est tellement navrant de voir son pays de naissance sombrer dans la futilité, la bêtise et une forme de violence comportementale.