Je viens de rentrer d’un voyage qui serait un peu comme « je partirai vois tu, je sais que tu nous attends », je suis partie deux jours, avec Lhom, pour aller enterrer notre ami, savoir tourner la page demande d’abord d’accepter que cette page soit tournée.
J’ai eu plein d’idées pendant ce pèlerinage, j’ai vu plein de choses intéressantes, rencontré plein d’amis, découvert de ses amis, et aussi retrouvé un peu mon passé.
Durant ce long ruban d’autoroutes, nous écoutions France Inter, mais là, je vais boycotter, raconterai pourquoi, un jour, peut être. Mais cependant dans l’actualité, sur le bord des routes, dans de toutes petites choses aussi, il y a eu tant de moments qui m’ont fait réagir , bondir d’autres fois, et aussi parfois sourire, supputer et cogiter. Aujourd’hui , je suis tout simplement trop fatiguée pour écrire, et lorsque je relis mes articles de puis le début de la semaine je me dis :
« Normal, Pene, déjà, à la base, disons le franchement, t’es pas douée… En orthographe, naturellement, mon style fabuleux peut déconcerter, certes, mais il est le reflet de ce que je suis étant simplement toujours perso. Mais là, en plus t’es crevée ! Laisse tomber ! »
Aussi, ce soir, je laisse tomber, tout, réflexions intimes et sentiments forts, pensées amusantes et humour à temps et contre temps.
A demain.
chicorée sauvage qui ornent en ce moment, les talus, je ferai, un jour, un jardin, d'herbes folles
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