mercredi 24 novembre 2010

Toi, l'auvergnat.

Aujourd'hui sort un livre d'une français blessé, blessé d'avoir cru être intégré, parfaitement et de constater qu'il n'ne sera jamais rien. "Confessions d'un sarkozyste repenti"  est un livre lié à ce minuscule incident, qui a tellement marqué les esprits que j'ai depuis entendu bien souvent parler de l'intégration des auvergnats...

J’aimerais que [Brice Hortefeux] présente des excuses. Pour moi et pour ceux qui se sont sentis blessés

Bénalia attend des excuses d'Hortefeux, mais ce courtisan si bien à la cour du roi Louis, ne s'abaissera pas si facilement à reconnaitre ce dérapage et s'en repentir simplement. 


Amine Bénalia Brouch est sincère mais toujours aussi naïf, il a quitté Roi Louis pour Kaa,  je ne crois pas sa seigneurie Villepin soit plus respectueux de l'autre mais je le pense être le plus gros des manipulateurs en politique française, capable de tout pour abattre son ennemi, le roi Louis.



Ce courtisan du roi Louis a insulté Amine Bénalia Brouch, lors du fameux dérapage de Seignosse, quand il y a un auvergnat ça va.... Je viens de revoir la vidéo, et m'étonne après coup que Copé qui a initié le dérapage n'a pas été  condamné ni même jugé pour cela.

Lorsqu'on est ministre en exercice même dans les effluves des après déjeuner arrosés, on ne se laisse pas aller dans la complaisance jusqu'à déchoir  et renchérir en insultant quelqu'un, présent à ses côtés et faire mine de trouver cela tout à fait normal. Hortefeux n'est pas le sale raciste que l'on peut croire à la vue de cette vidéo, il n'en a pas moins prononcé ces mots et devrait présenter des excuses à ce jeune kabyle et à tous les "auvergnats", français ou pas français par ailleurs.

Nous sommes tous les auvergnats de quelqu'un, je crois, cela pourrait être une consolation pour ces auvergnats là, mais surtout un rappel à notre conscience, vaccination contre les injures gratuites sous forme de mépris mortel.

Elle est à toi cette chanson
Toi l'Auvergnat qui sans façon
M'as donné quatre bouts de bois
Quand dans ma vie il faisait froid
Toi qui m'as donné du feu quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
M'avaient fermé la porte au nez
Ce n'était rien qu'un feu de bois
Mais il m'avait chauffé le corps
Et dans mon âme il brûle encore
A la manièr' d'un feu de joie

Toi l'Auvergnat quand tu mourras
Quand le croqu'mort t'emportera
Qu'il te conduise à travers ciel
Au père éternel 




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