vendredi 13 novembre 2009

Salauds de martiens


Salauds de martiens, qui polluent tant et tant leur planète….

Avec leur désinvolture égoïste ils réussissent à faire fondre des neiges éternelles et leurs glaciers dépérissent.Comment ça il n'y a pas de martiens vous croyez peut être que le changement climatique qui bouleverse Mars en ce moment est naturel ? 




Plaisantin, en fait, vous êtes payés par Claude Allègre afin de tuer la crédibilité de Saint Hulot. Que Nicolas Hulot fasse d’excellentes affaires avec cette juste cause ne doit pas le condamner au pilori, il n’est pas le seul,   Yann Artus Bertrand, qui est sponsorisé par LVMH est un véritable chef d’entreprise. L’écologie est un véritable business, ainsi qu’un formidable appât politique. L’écologie réduite par les écologistes à « Home » ou « Le syndrome du Titanic » est dangereuse,  car inefficace mais accréditée et subventionnée  probablement par beaucoup de monde ayant intérêt à nous focaliser sur des leurres.

De plus en plus de voix s’élèvent contre  ce qui parait devenir un véritable catéchisme écologique.  Néanmoins lutter  contre l’idéologie dominante est extrêmement difficile. Claude Allègre l’exprime assez bien dans un article de l’express.



On ne peut pas prévoir comment va évoluer le climat de la planète
  Dommage car comme le dit si bien Serge Galam :
Pourquoi tant et tant d’écotartuffes ?





En fait nous pourrions commencer à trouver des bouts de réponse, en cherchant à qui cela rapporte il? Qui en retire un bienfait? (Pouvoir, argent)

Mais rien de tel que de prendre des nouvelles fraiches du réchauffement climatique, pour après avoir dénoncé ces manipulations, se renseigner vraiment et agir.


Car il n’en reste pas moins que les énergies fossiles ne sont pas renouvelables, que nos déchets, déchets nucléaires aussi posent un vrai problème pour le futur et surtout l’urgence aujourd’hui est la pollution : pollution de l’air, pollution de notre nourriture…

Savez vous qu’une simple Golden, est traitée entre dix et vingt fois contre la tavelure avant d’arriver dans votre assiette ? De quoi se permettre une petite révolution. Notre terre est non pas une orange, mais une pomme, polluée, asphyxiée de plus en plus stérile, devenant petit à petit un poison pour les êtres vivants. De quoi se permettre une grande révolution.

L’autre grande cause, réduire l’inégalité de plus en plus criarde entre les consommateurs (nous occidentaux) et les cinq milliards et demi de non-consommateurs.  Nous n’avons pas le choix, la société de consommation telle que nous la connaissons s’essouffle, de plus en plus de citoyens aspirent à autre chose, consommer autrement, consommer durable. Les difficultés pour la mutation de nos économies sont monstrueuses, beaucoup de gens dans les pays « riches » en souffriront abominablement: accroissement du chômage, diminution du pouvoir d’achat, fin de la consommation de masse.

Les mutations se font souvent dans les souffrances, mais elles n’en restent pas moins parfois souhaitables. 



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