Ce «camp d'été décolonial» se présente comme une «formation à l'antiracisme politique». Un stage de quatre jours, du 25 au 28 août, ouvert à 150 personnes, qui aura lieu près de Reims et qui s'inscrit «dans la tradition des luttes d'émancipations décoloniales anti-capitalistes et d'éducation populaire», expliquent sur leur site les organisatrices, qui revendiquent déjà «plus de la moitié des places réservées.»
Une forme d'antiracisme très spéciale, puisqu'elle exclut les personnes blanches. En effet, est-il précisé sur le site: «Le camp d'été est réservé uniquement aux personnes subissant à titre personnel le racisme d'État en contexte français, nous accepterons cependant quelques inscriptions de personnes subissant le racisme d'État mais vivants dans d'autres pays.» Une précision qui exclut de facto les personnes blanches, qui ne souffrent pas selon les organisateurs de «racisme structurel». Une exclusion qui n'est pas sans susciter l'indignation. «Où sont les critiques? Où sont les demandes d'interdiction?»
Bien entendu, ce camp de "décolonisation" ne concerne que peu de monde, pour ainsi dire personne, mais est-il acceptable de permettre la ségrégation raciale en France?L'histoire récente de notre société devrait nous mettre en garde, le communataurisme favorisant les ghettos par ethnies et les multiples délinquances, petits et grands délits, petites et grandes violences, notre " bien vivre ensemble " devenant une sinistre utopie. Nos "chances pour la France" CPF, dans le langages des DFS, français de souche, peuvent-elles légalement refuser des "blancos" à un stage sur la décolonisation?
Le racisme anti-blanc un tabou français. L'Express
Il sera vain d'attendre des réactions outrées de SOS racisme ou du MRAP, ces associations ne peuvent voir le racisme que s'il s'exerce contre des non-blancs (enfin sauf les maghrébins, qui bien que blancs sont assimilés à des non-blancs).
Imaginez un instant qu'une association organise un camp d'été excluant les noirs, les médias se seraient emparés de l'histoire jusqu'à la nausée, on aurait eu le droit au Ku Klux Kan et toussa. Mais le racisme anti-blanc est toujours nié, voire justifié par tout ce que ces pauvres gens ont supposément dû supporter.
Les médias, les politiques français ferment les yeux, peu importe qu'en Afrique du Sud, les fermiers blancs soient massacrés, le monde entier a déjà béatifié Mandela. Sputnik La situation des blancs en Afrique du Sud dans les townships où s'entassent des afrikaners tentant de survivre est oblitérée, elle est hélas la preuve que la ségrégation existe toujours en Afrique du Sud, à présent pour réussir il faut être noir. Le Figaro
Les hommes sont égaux, dans leurs qualités comme dans leurs défauts, et le racisme est une réalité, Anti-noir, anti-blanc le racisme reste abominable, condamnable. La montée du racisme anti-blanc en France est une réalité occultée, la France doit appliquer les lois sur son territoires, ce camp, je l'espère sera interdit.
3 commentaires:
Chère "Lady Waterloo", je vous lis silencieusement et quotidiennement, et où que vous soyez me sens en profonde sympathie avec vos écrits, simples, francs et directs. La vie recommence ainsi, par le fond.
Merci Nicolas, vos mots me touchent sincèrement. :)
L'antiracisme s'est mué depuis longtemps en racisme anti-blanc. A force de manichéisme, à force de désigner toujours les mêmes comme coupables, de vouloir se souvenir (mais pas de tout) pour éviter que reviennent "les heures sombres", de légitimer la "colère" des uns, d'inciter les autres au repentir, se met en place peu à peu et avec la complicité de l'état, une mécanique infernale qui finira par devenir incontrôlable et provoquera ce qu'on prétend vouloir éviter. Mais le principal, n'est-ce pas, c'est de "bien voter" aux prochaines élections. Et puis aux suivantes. Et à celles d'après. Pour le reste, adviennent que pourra.
Alfred
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