vendredi 9 avril 2010

La cigogne bleue.


Aujourd’hui, je n’avais aucune idée du sujet que j’allais traiter, j’ai donc décidé de prendre le troisième sujet  sur la page du Monde.

Cette méthode est une méthode que j’applique souvent m’en remettant au hasard, pour choisir à ma place. J’ai gardé de mon enfance ces méthodes que j’utilisais, laissant ainsi le choix de certaines de mes décisions au vol d’une hirondelle ou au passage d’une voiture rouge.

Le troisième sujet du Monde est le : Kirghizistan

 

 

Jusqu’à hier j’ignorais tout du Kirghiszistan, Lhom lui semblait connaitre un peu mieux ce pays, soumis à la loi de dictateurs se succédant à toute allure. La géographie était plus simple du temps de l’ex-URSS et je n’ai qu’une angoisse géographique l’éclatement de l’Empire du Milieu, cela serait une vraie tuile, avec plein de noms  de pays à retenir, même si parallèlement les US et l’occident en général y gagnerait peut être en sérénité, diviser pour éviter d’être écraser.

Ma facilité d’évitement du problème me permet de le contourner. Mais je suis honteuse d’avouer que j’avais bien plus de trucs à dire sur la cigogne bleue,  le buzz des nouvelles règles du Scrabble, qui après le changement de règles de « Des chiffres et des lettres » aurait achevé de plonger les seniors dans la dépression nerveuse, ou encore  sur le mystérieux vol de moules à tartes à Paris…

 
                                           photo Ouest France

Tout mais pas le Kirghizistan, j’aurais pu parler entre détresse et raison de la destruction programmée des 1510 maisons en « zone noire » sur le littoral vendéen (et charentais) Sincèrement je n’avais pas le cœur à ça ! Pourtant la population de l’Ouest concernée de près et de cœur par cet évènement est aussi importante que celle des pauvres khirghizistanais habitant la Kirghizie, car en plus même le nom de leur pays n’est pas vraiment fixé, sinon par les médias.

Ce week end il ya un truc de bien, mes enfants sont en vacances, et un autre, il y a Koh Lanta à la télé, et je suis seule et je pourrais donc regarder, et là j’aurais eu des trucs à dire et finalement avons-nous vraiment besoin de connaitre l’existence et  les affres d’une population qui nous est si éloignée ? Cela est un autre débat.

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