vendredi 13 décembre 2013

Le perroquet en rit d'avance.



Valentin nous téléphone souvent en se moment,  il n'est pas venu depuis longtemps mais aimerait parfois se dédoubler pour être à la maison comme une petite souris. Ce midi il  a dit à son père

Attendez moi pour faire les décorations

Mon mari lui a répondu simplement

Oh ne t'inquiète pas la maison est grande, il en restera!

J'ai décidé de ne pas "faire" le sapin, on le disposera, mais il attendra son arrivée vendredi prochain pour s'orner de pommes rouges ou de de boules "à l'ancienne" comme il le souhaitera.

Dans la maison à Noël comme pour toutes les occasions, il y a du neuf et du vieux, des traditions respectées, comme les couronnes d'enfants sur les portes, la plus ancienne a été faite par Alice la plus récente par mon petit Pierre.



Je ne sais pas si cette année des enfants dessineront ces décorations si charmantes, ils ne resteront finalement que si peu de temps. Parfois, on pourrait se dire que tant de préparations pour si peu de temps, mais si on y réfléchit pour bien des fêtes et surtout les mariages, on en fait souvent  bien plus juste pour le souvenir.




Les objets de la maison bougent et on les voit d'un autre oeil, tel ce perroquet qui adore son nouveau perchoir, dans l'entrée, surveillant les clefs et toujours  prêt à espionner pour ensuite jacasser. J'adore les perroquets et si javais habité une région plus clémente, j'aurais craqué pour une volière dans le jardin.




Enfant je rêvais d'une maison un peu comme celle que j'ai à présent, un peu trop grande, un peu vieille, avec des recoins secrets, des coins perdus et milles surprises. Il y a bien des choses dans ma vie qui ne ressemblent pas à ce que j'imaginais, mais la maison que j'habite aurait pu vivre dans mes rêves d'enfant.



4 commentaires:

Martine a dit…

Oui, je crois que côté maison, tu es en effet servie!!! On s'y perd!

Ladywaterloo a dit…

On s'y perd, mais ça j'adore, mais en ce moment on s'y gèle^^^^

Clo a dit…

moi aussi j'habite une maison rêvée et en ce moment, je peux confirmer : le prix de ces beaux rêves c'est de s'y peler (mais quel bonheur ;-))

Ladywaterloo a dit…

Un bonheur qui a un prix, mais le pire est que je ne me vois pas y renoncer, les fêtes de Noël y seront merveilleuses.