Histoire du naufrage de La Méduse
Le capitaine
Le capitaine de la Méduse s'appelle Monsieur Duroy de Chaumareys, un homme âgé de 51 ans, contrairement à ce que l'on pourrait croire, cet homme n'a ni l'expérience, ni l'envergure qui sied à un chef pour conduire la division et la Méduse à bon port.
Officier sans expérience, survivant du massacre des royalistes sur la plage de Quiberon par Hoche en 1795, il vient tout juste de revenir en France. Comme la majorité de ses compagnons de la noblesse, il avait quitté le pays en 1789 pour trouver refuge en Angleterre.
Comme tous les nobles ayant déserté la France, il pense que le temps est venu de revenir au pays. Le capitaine de Chaumareys n'a plus mis les pieds sur le pont d'un navire en qualité d'officier commandant depuis vingt-cinq ans. Il est inapte à faire le point, de plus il affiche un profond mépris envers ses subordonnés et fait fi des avis des marins expérimentés. Il ne sait pas diriger un bateau et les marins se posent des questions et se demandent comment il à fait pour devenir capitaine.
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Avant le naufrage
Tous les bons marins savent qu'en mer la route la plus courte n'est pas forcément la meilleure. Quand un groupe de navires navigue en flottille, il est bon que les bâtiments les plus rapides calquent leur vitesse sur le bateau le plus lent. La mer est dangereuse et à l'époque, ne disposant d'aucun moyen, la sagesse impose de rester groupé afin de pouvoir porter assistance en cas d'incident ou pire.
Hollande a un cap, et le garde, il le gardera quoi qu'il arrive, dans la tempête s'il le faut, son fier trimaran France démâté, retourné, peu importe, il garde le cap.
Ayrault garde le cap de son maître, il garde ce cap, peu importe que des voies d'eaux envahissent les compartiments, peu importe que la boussole s'affole, peu importe l'orage magnétique, il garde le cap, sans poser de questions ni de remise en question.
Passer un cap envers et contre tout n'est parfois pas possible, les marins le savent bien, ils déroutent, louvoient avec les difficultés, attendent que la météo soit plus propice. A certaines époques de l'année, certaines voies maritimes sont déconseillées voire impossibles.
J'accuse essentiellement Hollande de ne pas tenir compte de la crise, d'avoir son cap, de s'y tenir, sans tenter de louvoyer. En temps de prospérité, sa "prime glandouille" ne serait pas dramatique, en temps de prospérité, l'écotaxe serait passée sans trop de problème, les bénéfices des sociétés permettraient d'encaisser cette nouvelle charge. De même la loi Peillon en temps de prospérité aurait pu être financée, cette loi est à contre temps il aurait fallu pouvoir engager plus de personnel et payer du matériel, cela n'a pas été fait car la France est plus qu'endettée, elle est fauchée.
La France est fauchée depuis très longtemps, déficit creusé par les différents gouvernements, déficit qui continue aujourd'hui encore à se creuser, les budget sont encore plus déficitaires, naturellement la France est fauchée il aurait fallu réduire le niveau de vie de l'état, et de toutes les administrations des régions aux communes, faire de vrais choix, Hollande fait de petites économies de bout de chandelles (ex, les clubs hippique) et ouvre grand les vannes de la solidarité, aspirant ainsi, malheureusement un flot d'étrangers qui ne trouveront jamais un travail, ni de logement, et qui vivront chichement de subventions, auront trop d'enfants, car jusqu'à 12 ans, ça ne coûte rien et ça rapporte. Malheureusement ensuite, après douze ans, puis après seize ans, pire après vingt ans, les enfants coûtent de plus en plus chers. Et toutes les familles, pas si riches voire pauvres tombent dans un piège abominable, ne pouvoir assurer l'avenir de leurs enfants, trop confiant en la Providence.
Beaucoup d'immigrés sont victimes, victimes de leurs coutumes où les familles nombreuses sont une évidence, et parmi eux, une partie de ces immigrés tombera dans la délinquance à défaut de pouvoir faire autrement, on leur a promis l'Eldorado et c'est l’Érythrée, mortelle tromperie.
Je n'en veux pas tant à Hollande d'être socialiste que d'être obtus, d'avoir menti tant et plus aux français sur la gravité de la crise afin d'obtenir le pouvoir ou alors stupide au point d'ignorer la réalité de la crise, puis face aux difficultés de "garder le cap" il y a deux locutions que je hais
La boite à outils, vide et stupide, qui me fait penser aux enseignants pas très doués en école primaire
Garder le cap cela se veut viril, c'est parfaitement suicidaire, donc stupide. De grâce, abandonnons le cap, on doit reprendre des forces, prendre des mesures pour aider la croissance, l'attendre et alors à nous l'Eldorado, si on y arrive.
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