Il faut savoir dire adieu, adieu à ceux qu'on aime, même si on les a aimé sans raison avec déraison. On pleure alors la fin de ces amours qui s'étiolaient au fond de nos souvenirs, amours irraisonnables parfois, amours inconditionnels.
Adieu Monsieur Cohen.
Comme tant d'entre nous, je vous ai tant aimé, avec vos faiblesses, vos tendresses, vos erreurs, vos faiblesses, avec tout ce qui fait qu'un homme est homme.
Depuis quelques jours je revisite vos chansons et les redécouvre, j'ai tant eu de mal à choisir, la chanson qui illustrerait le mieux votre moyenne dépression, votre mal de vivre, qui vous collait à la peau, maudite sensibilité, alors j'ai erré de Graham Allwrihgt à Maxime Le Forestier, et je me suis perdue, parfois.
Et au fil de mes pérégrinations ici ou là, j'ai découvert des perles que j'ignorais, telle cette chanson The Partisan, que vous avez du maudire, Noir Désir, ou pas.
La seule belle version de "The resistant" est ici, mais je n'arrive pas à mettre la vidéo en ligne, Youtube, fait ce qu'il veut, et souvent, il n'accepte pas ce que moi, je veux!
La version de Noir Désir si vitriolée, mais reprenant si fidèlement votre chanson "The Partisan" version, hélas taboue, peut-être insupportable, à nos yeux aujourd'hui.
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