Le sparadrap Léonarda.

On pensait ces gens retournés chez eux, on savait qu'ils disposaient d'un logement et que l'état français leur  avait fait donner des cours afin que les enfants puissent intégrer le système scolaire kosovar.

Encore raté, ils préparent leur retour en France, normal, ils y aiment le climat et le système fort généreux d'aides sociales. Je ne sais pas comment ont été calculées le montant de celles ci, mais la famille Léonarda aurait coûté presque 600 000 euros à la France. Extraordianire note pour un résultat si minable.

 famille de Léonarda a alors bénéficié de l’allocation mensuelle de subsistance à laquelle ont droit tous les demandeurs d’asile. La famille de Léonarda a également pu profiter de la CMU. Le dossier de la famille Dibrani a ensuité été transféré du Cada au Conseil général qui continuera de lui verser 350 euros par mois d’allocation et s’occupera de lui renouveler la CMU tous les 4 mois.

Le Comité de soutien des sans-papiers a ensuite pris le relais et a payé l’aide juridictionnelle pour le deuxième recours, ainsi que le voyage aller-retour pour l’audience à Paris, la prise en charge régulière des courses alimentaires, des cartes de téléphone et du tabac pour Resat Dibrani.

Les services sociaux de la ville de Levier ont accordé à la famille de Léonarda de nombreux chèques de 60 à 70 euros pour le ravitaillement au supermarché.

Le Figaro s’est livré à un petit calcul du véritable coût de la famille de Léonarda pour les contribuables français.

La famille de Leonarda ( 2 adultes et 5 enfants) est arrivée il y a 4 ans et 8 mois en France et a été prise en charge par le Cada.

Les demandeurs d’asile hébergés en Cada bénéficient de l’allocation mensuelle de subsistance 718 euros pour un couple et 4 enfants + 110 euros par enfant supplémentaire.

L’allocation temporaire d’attente, dispositif prévu de manière subsidiaire à l’hébergement, s’élève à 11,20 euros par jour et par adulte en 2013. Une place en Cada coûterait en moyenne 24 euros par jour et par personne en 2013.

La dépense moyenne par élève/an s’élève à 8 312 euros, le montant de l’aide juridictionnelle  s’élève à 1200 euros par an, et les dépenses de santé ( sécurité sociale + CMU) s’élèvent  à 2 900 euros en moyenne par immigré clandestin chaque année.

La scolarité de Leonarda, qui était absente un jour sur trois de l’école, a donc coûté34 577,92 euros ( 8312 euros par an durant 4,16 ans).

L’ allocation mensuelle de subsistance pour la famille de Léonarda représente uncoût total de 9 936euros en un an. L’ allocation temporaire d’attente, versée seulement aux parents de Léonarda, a coûté 8 716 euros par an. Les places en Cada de la famille de Léonarda ont représenté un coût de 61 320 euros par an. L’ aide juridictionnelle pour la famille Dibrani a coûté 1200 euros par an. Les dépenses de santé de la famille de Léonarda se chiffrent à 20300 euros par an. Le coût du renvoi de la famille de Léonarda au Kosovo s’élève à 88 515 euros. Quant à l’aide au retour volontaire, elle représente un coût de 7500 euros pour la famille de Léonarda.

Au total, la famille de Léonarda a coûté 107 013,33 euros par an aux contribuables, soit un coût global de 594 697,118 euros.  Observatoire des subventions



Dans cette note n'est pas pris en compte  l'aide que la France a octroyé à cette famille depuis son retour au Kosovo.

Du Kosovo la famille ne voyait pas trop comment rentrer en France, mais de Serbie, une possibilité s'offrait, alors Reshat Dibrani s'y est rendu et a entrepris un changement d'identité. La mère étant enceinte de sept mois, j'imagine que leur but est qu'elle accouche en France sinon, il leur faudra remettre ça.

Le père de Leonarda rigole: «Eh oui, je prends exemple sur Hollande! Il ment tout le temps ; moi aussi! Il change de femme ; moi, je change de nom…» Le patronyme «Tahiri» serait, selon lui, celui de son père, «Dibrani» étant le nom de sa mère. «J'ai pris le nom de mon père, parce que les Kosovars n'ont pas trouvé Dibrani dans leurs archives, explique-t-il. Tahiri, on l'a trouvé, mais ça ne me donne pas de droits supplémentaires ici…» Le Figaro


Le père est sans vergogne, Léonarda  est à bonne école, on peut lire dans le même article.

  «dans 2 ou 3 mois, on rentrera en France, le temps qu'on fait l'argent (sic) pour le voyage». Comment? «Ça, c'est notre problème!, réplique-t-elle avec assurance. Mais je peux vous dire qu'on a tous les noms des policiers qui m'ont arrêtée et qui ont embêté ma famille ; ils vont avoir des problèmes! Quant à Hollande, Valls, et le préfet du Doubs, qui ont dit plein de mensonges, on va leur dire en face la vérité!» Très remontée, la jeune fille mentionne encore «les vêtements, les cassettes vidéo de notre enfance qui sont restées dans l'appartement de Levier», près de Pontarlier. «Y en a pour au moins 20.000 euros…, assène-t-elle. Quelqu'un va payer pour cela!»


L'UE leur laisse bien des possibilités pour entrer légalement en France, ils sortent par la porte mais rentrent par des fenêtres, légales. La  Serbie intègrant l'UE, leurs passeports serbes en poche, ils pourront s'installer légalement en France qui banquera encore.

Pour une famille exploitant à fond notre système, combien en abusent?

 La France croûle sous trop de charges,  la libre circulation des personnes, principe fondamental de l'UE ne permet pas à la France de décider quelle immigration est souhaitable ni simplement même seulement possible.

Fabius assure que la famille Dibrani n'entrera pas en France, mais la France est elle encore  en mesure de refuser sa venue?

Dans quelques années si tout va bien les Dibrani seront français, une chance pour la France, vous croyez?