vendredi 23 septembre 2016

Ce procès dont on ne vous parlera pas.

 Personne, ou presque ne vous parlera de ce procès, car les médias seront face à la vérité, de deux choses l'une, ou la France est un pays laïc, et l'ordre doit être respecté quelle que soit l'origine et la religion des français ou l'on accepte des "exceptions" communautaires gênant la vie de tous les jours des citoyens ne faisant pas partie de cette (ces) communauté(s).


La population de Beaucaire a un jeune maire FN, Julien Sanchez, qui explique, dans la vidéo ci-dessus,  paisiblement le pourquoi du comment de ses arrêtés qui l'ont emmené  jeudi devant le tribunal correctionnel de Nîmes.

Arrêtés pris afin d'arrêter les agissements d'une communauté troublant la tranquillité publique, pendant le ramadan,  au mot ramadan, les chiens des assoc antiracistes sélectives ont tout de suite pisté le gars, engagé des avocats et lâché la meute contre ce maire élu démocratiquement et largement soutenu par la population beaucairoise. L' arrêté interdisait l'ouverture  des commerces en centre ville entre 23 heures et 5 heures du matin.

Sommes nous encore dans un état qui garantit la sécurité et la tranquillité de ses habitants?

Nous le saurons le 15 décembre.

La cour a mis sa décision en délibéré au 15 décembre. L’élu frontiste est poursuivi pour « entrave à l’exercice économique par dépositaire de l’autorité publique en raison de l’origine à une ethnie, une race ou une religion ».
Julien Sanchez a pris les 16 et 17 juin 2015, au premier jour du ramadan, deux arrêtés municipaux interdisant l’ouverture de commerces – « épiceries, primeurs et commerces de distribution » – de Beaucaire après 23 heures dans certaines rues de la ville. (...)
« Il ne s’agit pas de discrimination en raison de la religion mais d’une discrimination politique dont je suis victime », a affirmé à la barre Julien Sanchez, qui a dit être simplement préoccupé par une volonté de « tranquillité publique » et par la crainte de voir certains habitants « se faire justice eux-mêmes ».
Il a estimé avoir pris des « arrêtés proportionnés ».
« Je me fiche de l’appartenance religieuse, je l’ai apprise par la procédure où ces personnes se sont qualifiées de musulmane », a-t-il précisé.
L’avocate des parties civiles a rappelé que les commerçants concernés sont tous d’origine maghrébine et de confession musulmane, et qu’ils réalisent l’essentiel de leur chiffre d’affaires durant la nuit, surtout pendant le ramadan.

 Que font les clients de ces commerçants dans la journée, puisqu'ils font la fête la nuit durant le ramadan? Ils dorment? Mais alors quand travaillent ils? Comment leurs enfants vont à l'école ou au lycée s'ils ne dorment pas la nuit? 
Le ramadan n'est pas une sorte de carnaval où l'on dort durant la journée sans manger afin de faire la fête la nuit. Un vrai ramadan, respecte le travail du jour et le repos de la nuit, même si celui-ci est écourté par la durée du jour.

Quelle sera la décision de justice? je l'ignore mais d'elle dépendra bien des arrêtés afin que le "vivre ensemble" soit possible ou pas.

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