Soyons clair, Jamais je ne voterai, pour un candidat ayant fait l'ENA, enfin pas de ceux qui sont sortis dans ces années là, en tout cas.
Les énarques ont appris à prostituer leurs consciences pour gagner, écraser pour gagner, remplir leurs carnets d'adresses pour remporterl pouvoir, je crains que seul le désir de pouvoir anime l'immense majorité de ces énarques qui me dégoûtent.
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"Il peut exister des cas où un enfant peut trouver dans un couple de deux hommes ou de deux femmes des conditions d'épanouissement personnel parfaitement acceptables", déclare Alain Juppé dans un entretien aux Inrockuptibles. Dans ce numéo consacré à la "Juppémania" et sous-titré "le moins pire d'entre eux?", le maire de Bordeaux se prononce clairement pour l'adoption par des couples homosexuels. RTL
Juppé pourrait prendre sans hésiter la couleur politique qu'il veut, il prendrait de fait le cheval qu'il pense gagnant, sans état d'âme, sans conviction, sans valeur.
Jamais je ne voterai pour ce tocard, qui nous ferait revivre 5 ans en enfer, après l'ère Hollande. On a déjà signé 5 ans avec un tocard de gauche ce n'est pas pour reprendre un vieux cheval boiteux sur le retour?
Un président de la République doit avoir une vision cohérente et porteuse d'espoir pour la France. Juppé est un politique ringard, pensant pourvoir incarner l'avenir de la France en épousant sans hésiter le sens du vent, il n'a comme seul projet que de revenir dans les années 80, il ne sait toujours pas que chercher à revenir en arrière est toujours voué à l'échec
6 commentaires:
Et Sarkozy a une vision cohérente ?
Il n'y a qu'à voir son clientélisme éhonté, critiqué même à droite, face au collectif réclamant l'abrogation de la loi Taubira : il en bafouillait tellement que c'était risible, ça plus ses remontages d'épaules qui doivent signifier chez lui un grand malaise !
Le Maire était au moins cohérent et honnête, qualités qui manquent totalement à Sarko qui va toujours là où il y a des voix à prendre, tout en méprisant ses électeurs ("tous des cons" à l'UMP, ou au mieux, de "braves gens " !) Il devient de plus en plus populiste et Marine Le Pen en comparaison, en devient brillante tellement les ficelles de Sarko sont énormes !
"Je suis venu te dire : faut être heureux.
Alors arrête de courir et de croire que t'iras mieux.
Je suis venu te dire : faut être heureux.
On a qu'à sourire puis penser que c'est qu'un jeu.
Dans mon canapé une bombe devant les yeux.
Un camouflé, un mensonge pour croire en Dieu.
Écœuré, j'ai vomi mes rêves trop pieux.
Je suis juste venu te dire : faut être heureux.
Y a des paroles en l'air, un souffle, des gens hargneux.
Du vent, des idéaux saisis au vol pour aller mieux.
J'ai cru voir la mer
Oh mon Dieu c'était somptueux
Mais y a un ruisseau qui coule au fond de tes yeux.
Et puis une lumière qui brûle au creux de tes joues.
Je voulais juste la voir avant de devenir fou.
Je suis juste venu te dire : faut être heureux.
On lève nos verres à tous ces gens parfaits.
Cupides, asservis au système qui les paie.
On crie notre haine aux yeux de la justice.
On marche solidaires mais finalement c'est qu'on y croit plus.
Et on boit des paroles non digérées.
Et puis on vide nos images téléchargées.
On crée des situations mieux négociées
Parce qu'on nous a dit un jour ça va péter.
Je suis venu te dire : faut être heureux.
Rien à foutre j'veux lire au fond de tes yeux.
Je suis venu te dire : faut être heureux
Puis après on verra, qu'est ce que tu veux.
C'est des conneries la vie elle est belle et c'est tant mieux.
Je suis venu te dire : faut être heureux,
Faut être heureux !"
chanson écoutée ce matin (5-7)sur France Inter : quel bonheur !
Nomenklatura française ?
1) La nomenklatura française – pouvoirs et privilèges des élites par Alexandre Wickham et Sophie Coignard Belfond 1986 - vous voulez que je vous le prête ? Il a pris la poussière dans ma biblio mais est toujours d'actualité non ?
à Nanou :
"On se retrouve seul, on a peur quelquefois,
Et l'on regarde autour de soi guettant sur un visage un soupçon de tendresse,
Mais personne ne s'intéresse à personne et ainsi tout va de mal en pis,
Parfois le malheureux reste sur le tapis,
Comme à la vie plus rien ne le rattache,
Il crève dans son coin, sans que nul ne le sache,
Un sourire pourtant l'aurait tiré de là,
Sourions mes amis, quittons ces airs trop las,
Faisons-nous l'amitié, si rare à notre époque,
De sourire pour rien, d'être aimable avec n'importe qui pour n'importe quoi."
Ce texte a été écrit en 1980 (mon livre n'est pas poussiéreux) et le texte est malheureusement d'actualité
Nomenklatura française.
@ Sophie, à défauts égaux, je préfère un politique pas pollué par l'ENA..
Lorsque je songe que Juppé a osé dire à propose du mariage des homosexuels qu'il faut garder les "acquis". Le formatage est absolu.
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