La France n'aime plus les enfants.

La France n'aime plus les enfants, les bourses d'excellences à défaut d'être supprimées sont divisées par deux, bourses au mérite, réservées aux élèves de familles modestes, mais  la Najat Belkacine, déteste les gosses brillants issus de milieux modestes, il faut les aider moins même s'ils ne sont pas nombreux et aider les bouses qui traînassent, ceux là ne menaceront pas l'idéologie dominante, favoriser la médiocrité et étouffer l'excellence, même et surtout si elle vient de familles très modestes.
Le Figaro

La France n'aime pas les enfants, la volonté de réformer prime sur la réalité, réformer les rythmes scolaires, était à priori pas idiot, le faire alors que personne ni le communes  ni l'état n'a le moindre sou pour le faire est stupide voire dangereux, on demande alors aux communes d'embaucher des intermittents de l'éducation, pauvres gens qui ont des contrats de 12 heures/semaines au maximum, payées au salaire minimum des paumés souvent,, des malades beaucoup, des pédophiles aussi. Les incidents sont tus, les accidents niés, les scandales étouffés.

J'ignore vraiment les avantages de cette réforme idéologique menée contre la volonté de bien des parents, mais je sais la charge financière que cela représente pour les communes,  obligées d'embaucher n'importe quoi afin d'encadrer  n'importe comment les gosses. Réforme de Beldentifrice oblige. Hélas, demain, enfin en septembre les parents vont payer encore et encore plus. Mais en fait, le peuvent-ils?

Dans la vie rêvée de Belkacine, la cantine est presque gratuite, sauf pour les salauds de riches, sauf qu'il y a, au départ, peu de salauds de riches, mais pire le chômage aidant, les salauds de riches sont de moins en moins nombreux, ou de plus en plus discrets, ou  encore ils scolarisent  leurs enfants ailleurs qu'au sein des écoles de la mère patrie. Les parents plébiscitent de plus en plus les écoles privés sous contrat, certes, ils paient, un peu,  mais  les parents y paient depuis toujours  au prix coûtant les repas, ne recevant aucune subvention publique. L'obligation de résultat n'y existe pas, mais l'indifférence aux résutats non plus..

L'augmentation parfois faramineuse du  prix des repas ainsi que la fin de la gratuité  du temps périscoalire  aura pour conséquence prévisible une fuite des parents vers les écoles privées, les écoles publiques n'y recevront plus que des enfants issus de familles modestes ou pauvres, le phénomène de la ghetoïsation s'accentuera encore davantage.

Les municipalités recevant moins argent, ce qui est bien, doivent faire des choix, ce qui est normal. bfmtv

Les  familles savaient elles cela? A Alençon on revient aux gamelles, la mairie devant ainsi juste payer le personnel de surveillance et de ménage... Cet exemple est loin d'être isolé, entre les
 demandes de parents dont les enfants suivent un régime, pour des convictions religieuses ou pour des raisons "plus ou moins sérieuses" de santé; sans arachide ou sans fraise, sans gluten ou sans épinard (lol).. L'expansion

Les prix de revient explosent devant la complexité du service de la cantine, je militerais  pour une cantine menu unique, végétarien, genre concombre-pâtes-yaourt ou . tomate-riz-pomme,  un truc simple, pas complètement équilibré, aux parents de compenser le soir. La complexité des repas de cantine aujourd'hui nécessite  l'emploi de diététiciens, et moi, je me demande , faut il faire des repas plus basiques et accessibles à tous, sans dietéticiens,  ou continuer dans notre folie de toujours plus, toujours mieux?

La réalité rattrape les idéologies, les municipalités voient leurs budgets réduire, les choix sont demain, mais aujoud'hui, les tarifs augmentent les familles paient de plus cher en plus cher un service de moins en moins performant, et Viva la Socialie!