J'aime les "gens"

J'aime la vie, j'aime les gens, j'admire leur courage, je ne le dis pas assez souvent, je trouve tant et tant de gens courageux, des gens qui se lèvent le matin pour aller bosser ou chercher du travail, des gens qui cachent leurs peines et leur désarroi car ils estiment ne pas accomplir leurs tâches, rapporter du fric, assez de quoi vivre et payer les factures surtout. Des gens admirables, courageux  sans parfois le savoir, porter un fardeau, quelque fois trop lourd.


Je vois tant et tant de gens, dans tous les milieux qui se battent, j'admire leur courage, leur abnégation, souvent ces gens cachent leurs peines et tentent de vivre, dans l'adversité. Je mets beaucoup de barrières entre la vie et moi, je ne veux plus souffrir, et m'en protège parfois en renonçant de vivre. Je préfère ainsi souvent mettre une sorte de mur d'ouate entre la vie et moi.

Pour me protéger je me suis isolée, trop trahie, trop meurtrie, je préfère vivre plus isolée, je ne veux plus souffrir, cette exigence est folie, lorsqu'on aime, on souffre ou on souffrira. Je dirais alors que je me suis offert une pause, j'aimerais garder une image de la vie comme celles de ces poupées, l'une brune sera donnée, si sa mère l'accepte à Diane, largement plus mignonne que la poupée,  avec son regard revolver, la petite blonde  serait pour Perrine, une little tornade de vie, mais là aussi je ne sais pas si je pourrais la lui offrir, il faudrait que sa maman l'adoube.

J'aime beaucoup les gens, j'aimerais pouvoir m'isoler de plus en plus, enfin isoler ma sensibilité. En ce moment, je vois le gouvernement qui se scratche méchamment, je le savais, j'aurais adorer me tromper, j'aimerais que les choses s'arrangent, comme ça, je n'y crois pas alors on raconte quoi comme conte?  Le petit poucet ou encore le dernier  des dix petits  nègres? On peut?

Ben moi, je me cache sous ma couette et passe mon tour, j'aime pas ces histoires, je pense à mon projet de  Christmas cake et autres trucs ludiques et pas taxés .