Pour le député français UMP Alain Lamassoure, la nomination de Pierre Moscovici suscite un "malaise" après son "échec" en tant que ministre des Finances. L'ancien locataire de Bercy a rappelé qu'il avait "réduit les déficits en France", passés de plus de 5 % quand il a pris ses fonctions à 4,1 % fin 2013, et a assuré que la France n'avait pas bénéficié de traitement de faveur en obtenant deux ans de plus pour ramener son déficit dans les clous européens. Il a affirmé que les "règles ne sont pas stupides, elles prennent en compte la situation économique" et les circonstances exceptionnelles
Le Point
La nomination de Pierre à la commission européenne aux affaires économiques avait beaucoup surpris, drôle de nomination en effet, une sorte de récompense aux mauvais élèves, car quelle que soit la responsabilité personnelle de Moscovici, la France est dans un état de fragilité économique telle que nommer un français, ancien ministre de l'économie parait incongru voire complètement déplacé pour nombre de ses pairs aui lui auraient préféré un de ses concurrents.
A Bruxelles on dit
Moscovici, commissaire aux comptes c'est Casanova dans un couvent de nonnes.
La méthode Coué ne réussit pas en économie, le renard l'apprend honteux mais pas trop confus. Ce matin l'Insee vient de réviser les prévisions de non-croissance en France.
Au début de l'année l'état prévoyait 1%, à l'été il soutenait encore 0.8%, il y aura tout au plus 0.4%. Le budget de 2015 est trop optimiste, la croissance fançaise ne repartira pas.
Le chômage ne reflue que lorsque la croissance est de 1.5%, là encore, les prévisions, réelles, sont donc très pessimistes . Le Parisien
J'aurais aimé que la méthode Coué marche, mais les français ne croient que ce qu'ils voient, on leur dit que les impôts n'augmentent pas, ils augmentent, les taxes en tout genres augmentent, le chômage augmente, seul leur pouvoir d'achat stagne.
Il parait qu'il y a des riches en France, peut-être sans doute, mais dans mon entourgae il y a surtout des français inquiets, des français qui s'inquiètent pour leur travail lorsqu'ils le sentent menacé et pour leur retraite, lorsqu'ils ont la chance d'avoir un travail.
Des français confiants dans leur avenir, je n'en connais guère, pour restaurer la confiance le gouvernement doit donner une ligne claire qui dure plus de trois ou quatre mois, les français savent qu'ils doivent travailler plus, gagner moins, payer davantage d'impôts.. ils aimeraient, simplement, pouvoir avoir un an de préavis afin de faire leurs arbitrages, en toute connaissance de cause.
Les français se sentent pris au piège de la fiscalité comme des poules dans un poulailler où un renard vient de faire son entrée, elles éviteront de pondre des oeufs quelques temps...
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