Autrefois je ne comprenais pas les vieux qui ne comprenaient pas notre monde, autrefois je ne comprenais pas les vieux qui avaient peur de tout, refusaient tout changement voire préfèraient mourir plutôt que de continuer dans ce monde pourri.
Aujourd'hui, je comprends les vieux, notre monde en vieillissant devient de plus en plus désespérant, en fait, non, c'est nous qui nous nous rendons compte, jour après jour, à quel point le monde est vraiment désespérant.
Sans surprise les jeunes cons deviennent de vieux cons, les anciens bobos de gauche, de vieux bobos de gauche, Quand tu es jeune et que tu n'es pas de gauche tu n'as pas de coeur.. Mouais et quand tu es vieux et que tu es toujours de gauche tu votes pour Hollande, t'as cru aux médias? Les hypocrites ne deviennent pas vraiment des gens francs et les gens francs deviennent de grognons à insupportables.
Parfois les événements me surprennent, rarement me font plaisir, généralement, je préfèrerais les ignorer, le Vénézuela ruiné par les socialistes et la baisse du prix du pétrole voit sa populaition faire la queue devant des supermarchés aux rayons vides, l'Ukraine subit la folie de son nouveau gouvernement mis au pouvoir par les US, les russophones sont bombardés dans l'indifférences de nos médias. Dans tant de pays, les chrétiens, chut, sont massacrés dans le plus grand silence.
Il y a peu j'ai découvert une vidéo sur un génocide au Congo, 6 millions de morts, des populations entières abandonnées à la barbarie, je n'ai tout simplement pas eu le courage de la visionner. Là c'est juste les trois premiers monstres qui me viennent à l'esprit, mais il y en a tant.
Ce soir un évènement interessant s'est produit, près de chez nous, la Grèce se choisit un parlement à gauche toute, le souvenir que j'ai gardé de leurs derniers errements ne me rassurent pas, une dette monstre, des grecs hésitant entre pas grand chose et n'importe quoi. Peu m'importe, on fera tôt ou tard le même type de choix, dégoûté par l'UMPS, la France tentera autre chose, l'expérience que va mener (ou pas) la Grèce est interessante.
Je reste sans inquiètude aucune, quand on a besoin de sous, la BCE fait marcher la planche à billets, tout va donc bien dans le meilleur des mondes, enfin presque, en France en deux ans et demi, 600 000 chômeurs de plus (et oui...) et 314 milliards de dettes à rembourser, personne n'en parle, et une croissance plus bas que zéro.
Est ce bien normal tout ça? A en croire le sondages tout baigne, Hollande est ravi et Valls crispe le sourire qui brite.
10 commentaires:
vous vous rendez donc compte que vous devenez vous faites vous aussi partie des vieux cons, c'est incroyable !!!!
vous vous rendez donc compte que vous faites vous aussi partie des vieux cons, c'est incroyable !!!
Ben ouais, je suis pas si con en fait,
le problème reste des jeunes cons, non?
je ne suis pas concernée alors, moins vieille que vous mais plus une jeunette
Mea culpa, maxima culpa;
Je vous ai légèrement soupçonnée, non pas de virer vieille conne, mais un peu paranno tout de même. Théories du complot, chez vous comme ailleurs, assez peu documentées.
MAIS, je viens de lire tout un tas de trucs sur la fin de vie de Monsieur HELRIC FRADOU, commissaire de son état, et de son vivant.
Vu la fin de ce dernier état, je suis moi même de plus en plus en état de terreur.
Terreur devant les filtres de nos supposées informations, terreur que l'internet en France ne ressemble bientôt à l'internet en Corée du Nord.
Mille excuses, quelles que soient les origines des aides aux terroristes, il est sidérant que les infos ne cessent de nous parler de l'entourage de Coulibaly et rien sur les Kouachi.
Helric Fradou est le commissaire de police de Limoge, supposé suicidé, à la stupeur de son entourage, alors qu'il travaillait, si je me souviens bien sur l'entourage de Charb /Jeanette Bougrab. Il semblait avoir trouvé un tuc qu'il n'aurait pas dû.
Pouvez vous me donner des liens?
Ne vous inquietez pas tous ceux qui soupçonnent que les choses ne sont pas si simples qu'il n'y parait sont raillés, dévalorisés, je le savais parfaitement, et je l'accepte, sinon je n 'aurais jamais écrit ces billets.
La seule vérité étatique doit prévaloir, toute question est interdite.
Lu ce matin, dans Egalité et Réconciliation (obligée de faire appel à de l'alter info, les infos classiques sont toutes musselées)
« J’ai demandé le rapport d’autopsie, on m’a dit : “Vous ne l’aurez pas.” »
Le vendredi 16 janvier, Panamza publiait le témoignage troublant de la sœur du policier Helric Fredou, dont le mystérieux « suicide » continue d’être passé sous silence par les médias nationaux. Neuf jours plus tard, c’est au tour de sa mère d’apporter de nouvelles révélations.
Contactée par l’auteur de ces lignes, elle se déclare d’abord « énormément choquée » que Bernard Cazeneuve ne lui ait adressé aucun message de condoléances. Pour cause : l’actuel ministre de l’Intérieur entretenait, selon elle, d’excellents rapports avec son fils décédé. De 2010 à 2012, les deux hommes étaient amenés à travailler ensemble sur Cherbourg, l’un en tant que député-maire de la ville, l’autre en sa qualité de commissaire principal. « J’espère qu’un jour, je vais pouvoir le croiser pour lui dire à quel point j’ai été très déçue », ajoute-t-elle.
Même absence de réaction de la part de l’Élysée : Helric Fredou était pourtant chargé – entre autres localités – de la Corrèze et notamment de Tulle, fief historique de François Hollande.
Panamza reviendra prochainement sur l’intégralité de son témoignage, recueilli à travers un entretien téléphonique enregistré le samedi 24 janvier.Sept points sont, d’ores et déjà, à souligner :
1. Selon la mère d’Helric Fredou, les policiers qui l’ont auditionnée lui ont expressément fait savoir qu’elle n’aurait pas accès au rapport d’autopsie. La Code de procédure pénale prévoit pourtant qu’en cas d’autopsie judiciaire (pour suicide ou mort suspecte), tout membre de la famille peut en faire la demande auprès du Parquet. Inutile : tel est le message déjà envoyé à une mère endeuillée qui « veut savoir la vérité ».
2. L’arme de service d’Helric Fredou n’était pas munie d’un silencieux. Sa mère a donc posé une question élémentaire à ses collègues : « Pourquoi n’avez-vous rien entendu alors qu’il était environ minuit ? ». Réponse laconique : « Son bureau était bien isolé. »
3. D’après sa mère, Helric Fredou voulait passer un coup de fil important après avoir effectué deux choses : débriefer « trois enquêteurs » partis interroger la famille d’une victime de l’attentat de Charlie Hebdo (en l’occurrence, les parents de Jeannette Bougrab – compagne autoproclamée de Charb – comme l’avait recoupé et divulgué Panamza) et consulter ensuite « les réseaux sociaux ». C’est à ce moment-là que Fredou aurait réalisé une déduction tellement importante qu’il « voulait continuer de travailler ». Précision importante : le « commandant » en poste ce soir-là (non-identifié) aurait voulu se charger lui-même du débriefing des enquêteurs et de la rédaction du rapport, mais Fredou aurait insisté en lui répliquant : « C’est mon boulot. » Le supérieur direct d’Helric Fredou est Gil Friedman, directeur du service régional de police judiciaire de Limoges.
que les medias soient ce qu'ils sont, ça dure depuis des lustres
alors
ils mentent par omission...
et autrement aussi
Merci, je m'inquiète pour nos fonctionnaires et hauts fonctionnaires. Qu'à l'heure inespérée où les foules les acclament, ils se suicident encore laisse long à penser sur les raisons.CCLM
Moi? Je m'inquiète pour notre liberté, vraiment.
Je sais, que ma tout petite personne se démerdera, mais j'ai un vrai noeud au ventre quand je pense aux autres, autres moins prévenus, ayant moins de moyens, plus exposés.
Si je vous disais toutes mes craintes, vous me classeriez comme folle délirante, mais je ne suis pas folle délirante donc je les tais, enfin un minimum. Je ferai peut être un article plus ou moins survivaliste, pas rambo, mais, soyez tous conscient de votre fragilité, vis à vis d'un système où on a même besoin d'électricité pour avoir de l'eau dans les villes.
Mon enfance à Oran puis au Cameroun m'a marqué, mais je sais que eux aussi, pensaient être à l'abri. Je crois avoir vécu les jours de sang d'Oran, je dois demander à ma mère.
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