samedi 24 janvier 2015

La France libanisée.

Depuis 25 ans j'adore le Liban, avant je ne le connaissais pas, j'ai vraiment  "connu" le Liban et les libanais lorsque j'ai habité à Paris, près de la place Victor Hugo, à une époque où on trouvait encore de vieux appartements familiaux, hors de prix, mais que l'on pouvait louer quand même, juste on se tordait les mains à l'idée qu'un lave-linge rende l'âme ou qu'une dent craque. Avec un peu d 'avance, sur le reste de la France, comme presque tous les parisiens, j'ai exploré les 1001 façons de payer moins cher tout et n'importe quoi des puces de Saint Ouen à la fac dentaire.

Il y a 25 ans, débarquant d'une lointaine île du Pacifique j'ai pris conscience  alors brutalement que la France marchait sur la tête, que l'état dilapidait des sous qu'il n'avait pas,  que l'Europe était une douce utopie et que le Liban pleurait en vain tous les jours, matin et soir sur la place pour retrouver la paix, à défaut de la souveraineté. J'adorais le général Aoun et avec mes amies, chrétiennes libanaises, j'espérais encore que cette Suisse du Moyen Orient retrouve la paix. J'étais peu informée mais très mobilisée, je ne suis guère plus informée mais aujourd'hui encore plus inquiète, plus uniquement pour le Liban, hélas.

Elections après élections, les français se laissent berner par des utopies, de plus en plus se détournent des urnes, pourtant notre seule façon de réformer la France en toute légalité, pacifiquement.







Lorsque cet andouille de petit dictateur de premier ministre dit

"Les jeunes Français doivent s'habituer à vivre durablement avec la menace d'attentats», a déclaré Manuel Valls devant les élèves d'un lycée agricole à Brie-Comte-Robert (Seine-et-Marne). «Votre génération, votre classe d'âge, doit s'habituer à vivre avec ce danger pendant un certain nombre d'années», a-t-il ajouté lors de cet échange, en rappelant «la menace» que constituait le retour en France de jeunes djihadistes formés à l'étranger et déterminés à frapper leur propre pays." Le Figaro

Mon cerveau se met en état apocalyptique, hurlant des SOS partout, la France n'est pas le Liban car nous avons la chance d'avoir des frontières moins compliquées et des moyens autrement plus complets.

Notre gouvernement marche sur la tête, je me fiche que les gosses chantent la Marseillaise, je n'en connais pas les paroles sanguinolentes, je me moque qu'ils aient un brevet de citoyenneté ou pas, mais j'estime que le premier devoir d'un gouvernement est de garantir la sécurité de son pays. Hélas, les mesures concernan tl'éducation nationale est plus de formatage des cerveaux, inutile, et pas de réflexion sur les conditions d'apprentissage des savoirs fondamentaus (lire, écrire, compter, je dois rajouteer, parler le français)






Des  mesures de bon sens s'imposent pour  refuser ce qui peut l'être. Il faut en terminer avec la Françafrique, en terminer avec les Opex et coopérations militaires puisqu'on a plus les moyens, à la fois de garantir la sécurité du territoire et mener cette politique extérieure, peu me chaut qu'à Bamako les gosses parlent français, je veux qu'à Paris les gosses soient français. Peu me chaut que notre culture soit exportée au sénégal je veux qu'à Marseille les enfants soient vraiment français.

Le refuge de la mère patrie, le refus du terrorisme doivent être un objectif primordial, quitte à sacrifier bien d'autres budgets. Il nous faut, c'est clair, plus de gendarmes, plus de douaniers, surveiller nos frontières, limiter les trafics d'armes et que la justice fasse son travail.





Si Coloubaly n'avait bénéficié de remise de peine il serait encore, jusqu'en mai en prison, est ce possible? Certainement, est ce souhaitable, je le crois.

Sans pudeur, ni tabou, on doit abandonner nos à-prioris, respecter les gens et mettre en place une politique courageuse, tant au niveau familial, abandon des allocations à gogo, mais mise en place d'allocations au mérite, qu'au niveau citoyen, par exemple, limiter les effets pervers des assoc anti-racistes qui engrangent du fic sur les procès, les incitant à employer un bazooka dès qu'un mot dépasse de l'autre, suscitant un climat épouvantable de pays totalitaire.

Nous avons pris les problèmes à l'envers, englués dans une culpabilité ridicule, nous ne sommes pas responsables du passé, il serait grand temps d'en faire table rase afin de rétablir la souveraineté de la France et de garantir la sécurité de tous les citoyens français.

Notre gouvernemenrt semble avoir renoncé mais comment peut on accepter, sans rien faire vraiment,  que la France soit territoire de terroristes?

1 commentaire:

zelindor a dit…

je n'ai pas aimé ce qu'a dit Valls, mais je ne suis pas objective
je ne l'apprécie pas
je ne le supporte pas
ce qu'il a dit, est complètement idiot

eux, ils se servent de ce drame, pour vaincre en 2017
pas de honte !
ce n'est qu'un humble avis !!!!!