Se réapproprier la France.

 Il faut tourner la page, les médias entretiennent une psychose malsaine en  maintenant une sinistrose déplacée, cela a dû faire de l'audience, mais va à l'encontre de tout bon sens . La vie doit reprendre ses droits, le Beaujolais nouveau-saucisson toute sa place et la préparation de Noël débuter.

Depuis deux ou trois jours j'ai repris le cours de mes occupations traditionnelles de l'époque, listes de cadeaux, jouets, plan  de travail cuisine-décos-cadeaux...

Sacha, 8 ans, souhaite que je remplace le fusil de cow boy que je lui avais offert l'an dernier et qui n'a malheureusement pas résisté à un assaut récent contre les méchants. Les assauts sont violents et les méchants nombreux, un an de durée de vie pour ces armes me parait raisonnable. Certaines grandes enseignes ont supprimé le rayon "péteux" de leurs jouets de Noël, on parle de supprimer certains jeux vidéo, comme si jouer aux cow boy ou aux chevaliers changerait quoi que ce soit! Comme si se défouler avec des jeux rendait violent. J'ai toujours adoré aller dézinguer "pour de faux" lorsque je suis très stressée ou en colère, certains de mes enfants, rentrant d'épreuves, vont jouer quelques parties de jeux de guerre, puis, calmés reprennent leurs petites vies tranquilles.

Dans une semaine, j'irai aider une amie  à la confection de crèches dans les rues d'un village voisin qui en fait une spécialité depuis plus d'une trentaine d'années, les crèches face aux kalachs me parait être une excellente riposte. Fêter Noêl comme toujours, avec encore plus d'éclat, afin que nos traditions chrétiennes se dressent comme un rempart contre tout extémisme.

 Décorer nos maisons, nos vitres, nos jardins de symboles chrétiens pour meubler l'espace culturel et spirituel de nos villes, ne laissant pas de place au défaitisme ni d'opportunité à tout extremisme. L'association des maires de France me parait complètement à côté de la plaque en demandant, mercredi dernier, une clarification administrative interdisant les crèches dans les lieux publics. Le Figaro


Quelle que soit la décision de l'état,  les concours de crèches existeront encore, pour la plus grande joie des enfants, et j'aimerai entendre encore plus de  chants de Noël dans les rues de France,  la magie de Noël ne doit pas céder la place à la froide laïcité, de manière à montrer à tous le plaisir du vivre en France.