mardi 26 mai 2015

Oeuvres de destruction massive de l'identité française.

 En écoutant Luc Ferry, je me suis sentie moins seule, mieux comprise dans ma colère contre Najat Vallaud Belkacine. NVB est une femme à puissance de destruction massive de l'éducation.


Désolé d'y revenir, mais l'affaire est trop grave pour qu'on en reste là. Oui, je le dis posément, sans aucun parti pris: les futurs programmes du collège sont ridicules, partisans et nuisibles. Précisons: je parle bien des programmes, la réforme des collèges, inspirée par les idées de Bourdieu et la haine de l'excellence, posant de tout autres problèmes, notamment parce qu'elle oublie, comme d'habitude, que l'échec scolaire se forge au primaire.

Luc Ferry Le Figaro

Notre pays est aux mains de personnes haïssant la France des français, deux femmes, Najat Vallaud Belkacem et  Christiane Taubira, cachent moins leurs désirs de nuire aux FDS, français de souche, en abattant toute leur culture, niant leur histoire, tentant de tenir en otage dans une oeuvre de culpabilisation intense les français et surtout les enfants.

La participation de la France dans toutes les compétitions "artistiques" est un miroir exact de cette volonté d'ancrer le peuple dans un passé de sang et de larmes, de le culpabiliser afin de mieux châtrer sa créativité et son indépendance d'esprit.

La pauvre Lisa Angell a été une victime consentante samedi dernier lors de cette pitoyable prestation de l'Eurovision.  Une chanson déprimante qui n'était que larmes et sang,  une chanson de deuil, présentée par une femme toute de noir vêtue: N'oubliez pas. Aucune joie de vivre, aucun enthousisame. Paroles de cette scie, ici

La palme d'or du Festival de Cannes était dela même eau, glorifiant Dheepan, un film de Jacques Audiard, déprimant, mais si français, si politiquement correct...

Dheepan est un combattant de l'indépendance tamoule, un Tigre. La guerre civile touche à sa fin au Sri Lanka, la défaite est proche, Dheepan décide de fuir. Il emmène avec lui une femme et une petite fille qu'il ne connaît pas, espérant ainsi obtenir plus facilement l'asile politique en Europe. Arrivée à Paris, cette « famille » vivote d'un foyer d'accueil à l'autre, jusqu'à ce que Dheepan obtienne un emploi de gardien d'immeuble en banlieue. Dheepan espère y bâtir une nouvelle vie et construire un véritable foyer pour sa fausse femme et sa fausse fille. Bientôt cependant, la violence quotidienne de la cité fait ressurgir les blessures encore ouvertes de la guerre. Le soldat Dheepan va devoir renouer avec ses instincts guerriers pour protéger ce qu'il espérait voir devenir sa « vraie » famille1. Wiki


                                         
"Partisans, ils (nos pseudos ministres) le sont plus encore quand la civilisation européenne est réduite à la colonisation et à la traite négrière, tandis que les Lumières, la révolution scientifique, Voltaire et les encyclopédistes sont facultatifs. Comme l'écrit Jacques Julliard (encore un «pseudo-intellectuel»): ces programmes «respirent la gêne d'être français, voire la honte d'être français… La place privilégiée faite à l'islam par rapport au christianisme et par rapport au rationalisme des Lumières, ces deux flambeaux de notre culture, est grotesque»." Luc Ferry



3 commentaires:

Anonyme a dit…

Comment savez-vous que Dheepan est déprimant ? Le film n'est pas sorti
En outre, je n'ai pas vu la prestation de la chanteuse française lors de l'Eurovision, mais ce que vous décrivez d'elle ( habillée en noir, chanson mélancolique, etc ) me fait beaucoup penser à Edith Piaf qui appartient bien à la culture française, non ?

Sophie a dit…

Jacques Audiard, politiquement correct ? tu n'as pas du voir ses films !!!

Et la tonalité morose des films n'était pas spécialement due à la France mais traversait tous les continents !

Et enfin, je ne me souviens pas de Luc Ferry comme d'un grand ministre de l'éducation, mais d'un bavard insupportable d'égocentrisme et de sa femme qui prenait une grande place (selon le Canard enchainé) au ministère !

Lyly a dit…

Il paraît quand même extraordinaire que les pédagogues considerent que des gamins avec a peine 400 mots de vocabulaire sachant a peine lire et écrire "découvrent" en eux tout le savoir et les compétences qu'il faut. N'en déplaise a ces pédagogues, les gamins de bon milieu socio-culturel seront toujours meilleurs que les autres meme pour ces "nouvelles" compétences a avoir, et cela rendra les choses encore plus subjectives, les matières academiQues avaient au moins l'avantage d'être claires et mesurables. Même en changeant le curseur de validation des diplômes et de l'effort a faire, le marché du travail se chargera avec encore plus de frustration et de dépit de remettre les points sur les i. Alors certes l'invasion des nullités est telle qu'en cherchant un stagiaire a bac+3 j'en suis réduite a accepter les lettres de motivation avec fautes d'orthographe mais bon ceux qui n'en font pas auront toujours une longueur d'avance n'en déplaise à nos gouvernants qui ont décrété que ce n'était pas important (mais leurs gamins n'en feront pas).
La France face à la mondialisation voudrait créer un pays de Cocagne où on ne connaît pas l'effort?
On ferait mieux de moins huer les filières professionnelles où les profs envoient les cas difficiles qui bousillent les chances de ceux qui sont motivés. Il y a beaucoup de gamins qui sortent sans rien? Et alors évidemment qu'on ne peut pas construire un modèle où tout le monde rentrerait c est impossible, sur trois cousins sans rien, et bien deux ont trouve leurs voies ils ont réussi brillamment par des chemins détournés. L'école n'est pas en tort ni eux, c'est une autre voie d'autres choix.
J'avais lu que la démocratisation de la scolarité n'avait en rien changé les différentes strates, ceux qui ont Un bac+2 il y a 40 ans ont maintenant un bac+5, ceux qui avaient le bac ont un bac+2 ect...il n'y a pas d élévation globale des competences. D'ailleurs au boulot les "vieux" enragent de ne plus trouver chez les techniciens des perles rares qui pourraient se découvrir de bon gestionnaire à promouvoir comme avant quand les parents ne voyaient pas l intérêt d aller au delà du certificat d études quand il y avait du boulot à foison meme s'ils étaient bons élèves, parce que maintenant les potentiels bons gestionnaires sont déjà diplomes et ils ne veulent plus commencer au bas de l'échelle et mettre les mains dans le cambouis, et on voit donc une dégradation du boulot...
Chez les fonctionnaires les baby-boomers a certificat d'études a peine au dessus du smic en fin de carrière sont remplacés par des bac+5 sur concours a 2000 euros début de carrière. Esprit sûrement brillant mais refusant le boulot "basique" d agent administratif, je connais plusieurs cas véridiques où il y a plus de chefs que d'exécutants...